Début de chantier + 8 mois contractuels + 2 mois de rab (sympa non ?)

                               

vendredi 30 juillet 2010

Archi, constructeur, maître d'oeuvre ? => Les Architectes

Ceux qui sont déjà passés par la construction s'accordent pour dire que c'est à la troisième maison qu'on est pleinement satisfait. Moi, je ne suis pas certaine que notre famille en construira une deuxième. Mais comme le chante (le mixe ?) Wax Tailor "Que sera, sera" (l'original n'est pas de lui ? Vraiment ?). En attendant, je saisis cette fabuleuse chance de choisir la maison de ma famille, de la penser et de la rêver... Alors pourquoi ne pas vivre dans une maison d'architecte ?

J'ai contacté les architectes Barrès-Coquet dont la maison de verre nous avait plu à l'époque où nous étions sur Lyon et où nous avions quelques velléités de changer d'habitat.

La maison de verre de Barrès-Coquet
Du verre, de l'acier, de l'espace ou plutôt, du vide... parfait ! Mais, ils n'étaient pas intéressés par notre projet situé à près de 200 km de chez eux. Comme ils nous le disaient, ils ont l'habitude de travailler avec leurs artisans locaux et de leur expérience, la distance complique tout. De toute manière, je pense qu'ils auraient été beaucoup trop chers pour notre porte-monnaie.

Les Architectes du bois, eux, n'avaient pas peur de la distance (oui, à un moment, j'ai troqué l'acier contre le bois. Je ne sais plus pourquoi... Une lubie ?). Paris < > Eteaux = plus de 600 km = une broutille ! Avec le recul, il est évident que j'avais dû me prendre une bûche sur la tête pour avoir cru l'espace d'un instant que nous pourrions vivre dans une maison en bois. J'explique : Chéri et moi, nous ne sommes pas des guerriers fougueux qui remportent toutes les batailles domestiques et ménagères. Alors, une grande maison en bois... c'est synonyme de ponçage et de lasure et très sincèrement, je préfère faire autre chose de mes weeks-ends, dormir par exemple (c'était donc bien une lubie). Mais tout de même, c'est beau ce que font les Architectes du bois. Ci-dessous quelques réalisations pour les plus fainéants d'entre vous qui ne voudraient même pas surfer un peu sur leur site.



Eric Peloy nous a proposé le projet suivant :





Au niveau budget, on aurait pu faire un effort. Au niveau design et distribution des pièces, du travail et des échanges étaient nécessaires. Et là, la distance nous a été fatale. J'avais le compte à rebours du dépôt du permis de construire pour le 31 juillet au plus tard et ses "tic, tac, tic, tac" me procuraient autant de plaisir que le supplice de la goutte d'eau.

Construire une maison, c'est un vrai beau projet de vie dont toutes les composantes mériteraient qu'on les étudie minutieusement, amoureusement. Mais parfois, il faut bien se réveiller et hormis les nantis, tout le monde a des contraintes. Les nôtres s'appelaient "Monsieur le Banquier" et "Madame la Notaire".

Le dossier "Architecte" a donc été plié. La piste "Constructeur" est désormais à privilégier.

Mon identité de maître d'ouvrage

En temps normal

Durant cet hiver, pour affronter le froid, la neige et la boue

Lorsque le temps est clément

Actuellement (le chantier est en vacances !)




Archi, constructeur, maître d'oeuvre ? => Les Maisons Phénix

Nous sommes toujours en juin 2009 et en parallèle de ces histoires de compromis de vente, j'ai recontacté Ludovic V. des Maisons Phénix puisque la Tri-Logis était le point de départ de notre aventure "construction". Comme je le disais précédemment, Chéri, notre enfant et demi (j'étais enceinte du deuxième à l'époque) et moi avons enfourché nos 115 destriers modernes pour galoper vers St-Priest et voir de plus près le travail du "constructeur n°1 de maisons individuelles en France".

Après s'être un peu perdus dans la banlieue Est de Lyon, nous découvrons sous un soleil de plomb (le soleil était peut-être léger mais lorsque vous portez une dizaine de kilos de plus rien que dans le ventre, tout degré supplémentaire vous rapproche du Vésuve) une toute petite maison de plain-pied. Nous empruntons la porte d'entrée et sommes très bien accueillis par l'équipe des Maisons Phénix. Mais déjà, je remarque l'épaisseur des murs... Bien sûr, Ludovic V. me rassure et m'informe qu'au moment des inondations de Vaison La Romaine, la seule maison restée "debout" était une maison Phénix. Néanmoins, un mur aussi fin donne une impression de fragilité (j'imagine un éternuement de Chéri et hop, les murs s'écroulent). Je regarde les volets "persienne" attentivement et surprise, ils ferment avec un simple loquet comme celui-ci :


Dois-je vraiment préciser que dans ma tête de citadine ce loquet ne rime pas avec sécurité ? (Je vous ai dit que j'avais grandi à Oissel ?) Et les bras m'en sont tombés lorsqu'on m'a rétorqué "vous savez, si un voleur veut rentrer, il rentre". 

...

Nous regardons ensemble l'implantation possible de la Tri-Logis sur notre terrain et j'avoue que cela me plaît bien. Et puis, nous abordons le sujet un peu plus dans le détail... Ludovic V. s'est renseigné auprès de la Mairie d'Eteaux pour le PLU et il s'avère que la maison que l'on souhaite, c'est-à-dire celle-ci :

La tri-logis des Maisons Phénix

et bien, hé hé, on ne peut pas l'obtenir ! Le PLU impose d'avoir 80 cm de débord de toit avec une pente de toit importante (entre 50 et 70%), tellement importante que la maison ne pourra pas être dotée de son entrée si caractéristique et si design :


A cela s'ajoute le fait qu'à l'étage, on risque d'avoir pas mal de mètres carré sous pente et pour Chéri qui fait 1m93, ce n'est franchement pas la panacée. Sans compter qu'en région montagnarde, une verrière comme celle-ci ne pourra peut-être pas être réalisée à cause des risques potentiels liés à la neige.

Chéri et moi repartons de cette visite assez préoccupés : il faut qu'on rencontre d'autres constructeurs. Il semble que l'on ait bien fait car Ludovic V. devait nous fournir réponses sur le budget, sur la hauteur sous pente, sur des points que son service technique devait valider et, à ce jour (soit plus d'un an après), j'attends encore de ses nouvelles. 

En rédigeant ce post, j'ai vainement essayé de retrouver le blog de la maison de plain-pied qui avait fait les portes ouvertes. Mon errance sur la toile m'a conduite sur ce site, www.sinistreconstruction.com et là, je suis confortée dans notre choix de ne pas avoir fait construire une maison Phénix, du groupe Geoxia, "n°1 de la construction de maisons individuelles, le groupe Geoxia intègre l’ensemble des métiers et services lié à l’habitat individuel(bla, bla, bla).

samedi 24 juillet 2010

La construction avance !

Je ne résiste pas et je bouscule les chronologies. En avant le "continuum espace-temps blog / vie réelle / présent de narration" façon Lost (clin d'oeil) !!

La maison avance !

Simulation de la maison

La maison au 21 juillet 2010 (je sais, sans le sapin, cela ne donne rien)

Le compromis de vente (suite et fin)

Pourquoi ai-je mis autant de temps entre le premier post du compromis de vente et celui-là ? Tout simplement parce que dimanche dernier, nous sommes allés à Musilac pour écouter Phoenix (oui !!!) et qu'il me faut bien tout ce temps pour m'en remettre. Je ne suis plus toute jeune. Néanmoins, je suis fière d'annoncer qu'à mon palmarès, j'ai six concerts d'eux dont trois, enceinte !! Elles peuvent en dire autant les p'tites jeunes de Musilac qui me bouchaient la vue, hein ?


Et puis c'est bien d'avoir laissé passer un peu de temps entre le début du récit "compromis de vente" et sa suite. Ainsi, on a une sensation plus juste du temps qui passe... comme quand on attend une réponse de son notaire !
Nous sommes le mardi 16 juin 2009 : au matin, j'ai contacté tout de suite notre notaire, Maître Lardet-Fleurier. Bien sûr, elle est occupée. Je ne lui en veux pas, je comprends aisément. Le dossier sera néanmoins pris en charge le jour même par Nadine B., la clerc de notaire. Entre-temps, je reprends contact avec Ludovic V. des Maisons Phénix pour avancer sur le projet de la Tri-Logis. Ils font une porte ouverte du côté de Saint-Priest (soit à environ 170 km). Nous n'hésitons pas très longtemps et le samedi suivant, nous prenions la route pour tâter le travail du constructeur. STOP, je digresse. Il n'est pas encore l'heure de tailler un costard à Monsieur Ludovic V., responsable de l'agence de Saint-Priest.
Nous en étions au fait que Nadine B. s'est chargée très rapidement de faire les vérifications d'usage concernant le compromis de vente. Elle attire notre attention sur la date limite de dépôt de PC qui est très (trop) courte (pour le 31 juillet, soit un mois et demi suivant le compromis). Moi, je tiens à cette date car je ne veux pas que le terrain nous passe sous le nez. Le vendeur avait, si mes informations étaient justes, d'autres acquéreurs potentiels et plus vite le permis de construire est demandé, plus vite, Franz P. peut encaisser son chèque. La clerc de notaire insiste pour que la vente ne soit effective qu'en cas de permis de construire purgé de tout recours (recours des tiers + recours administratif). Heureusement qu'on a fait appel au notaire car j'aurais signé sans connaître toutes ces subtilités d'importance ! Cette mention était absente du compromis de vente rédigé par l'agence immobilière. Selon vous, c'était un oubli innocent de la part de Christophe P., le directeur de l'agence... ? Maintenant que j'ai un peu traîné mes talons dans les rouages administratifs de l'achat d'un terrain à bâtir, je comprends pourquoi Nadine B. avait insisté à ce point. 
Nous sommes le mercredi 17 juin 2009, Stephan G., vient à notre domicile pour me déposer le compromis de vente validé par notre notaire et celui du vendeur (les notaires ont mis moins de 48h pour vérifier le compromis de vente, délai tout à fait honorable). Il repartira avec les documents signés : cette fois, c'est parti, les comptes à recours sont tous enclenchés.

mercredi 14 juillet 2010

Le compromis de vente

Je ne pensais pas que ce blog me prendrait autant de temps. Outre la rédaction, il y a aussi la mise en page et cette histoire de diaporama qui m'a coûté plusieurs soirées ! Tout cela pour revenir au diaporama de base de Blogger (légère impression de perte de temps) ! A la vitesse à laquelle je vais, Dieu (ou Bouddha ou leurs potes) sait quand je rattraperais mon année de retard. Moi qui ai tant de palpitantes choses à raconter sur cette aventure constructionnesque : recherche de constructeurs, terrain détrempé, DDE, cuisinistes (à boire et à manger), archi d'intérieur et Cie (du vrai n'importe quoi)...

La solution serait peut-être de raconter en temps réel les anecdotes du moment et en parallèle, de relater les faits du passé ? Cela voudrait dire qu'il y aurait un "Moi d'il y a un an" + un "Moi des posts actuels" sans compter le vrai moi de la vraie vie ! Oh, ça y est : j'ai mal à la tête. En attendant de trancher sur cette problématique qui vous tient tellement en haleine (inutile de mentir, je le sais), revenons à nos moutons : la signature du compromis de vente... et la rencontre avec le vendeur !

Nous sommes le lundi 15 juin 2009, soit 48h après s'être mis d'accord sur l'achat du terrain. Autant de précipitations aurait du nous mettre la puce à l'oreille mais comme le disait Stephan G., nous avons sept jours à compter de la signature pour nous rétracter sans pénalité. Je vais au rendez-vous seule, Chéri étant pris au travail. Il est 19h, j'entre dans l'agence immobilière et je rencontre enfin Franz P., le vendeur. Comment le décrire ? Il a les yeux aussi clairs que le dessous de ses ongles est noir. Il parle peu et ne me regarde quasiment jamais. A un moment, nous sommes restés seuls dans le bureau et un silence de dingue s'est installé.

Le directeur de l'agence, Christophe P., commence à lire le compromis de vente et les questions arrivent.
- quel est le montant de l'apport ?
- montant estimé de votre construction ?
- vous ferez plusieurs prêts ou pas ?
- à quelle banque êtes-vous ?
- déblocage troisième pilier ?
- quel taux d'intérêt ?
- emprunt sur combien d'années ?
- quand ferez-vous construire ?
- ...
Je ne m'attendais pas à un tel interrogatoire et les questions relatives à la nature de notre financement m'agacent. Avec notre banquier, nous en étions encore au stade de l'enveloppe budgétaire et mes réponses au directeur ne pouvaient commencer que par "a priori" étant donné que rien n'avait été figé avec Monsieur de la banque. Face à mon étonnement, on me dit qu'il faut qu'un minimum de garantie soit inscrit dans le compromis de vente pour "couvrir" le vendeur. Ensuite, lecture est faite des servitudes portant sur le chemin d'accès qui dessert notre terrain et les maisons déjà construites. Et parce que cela faisait longtemps, on me repose plein de questions sur notre future maison. Moi, innocente, candide, insouciante (à côté de la plaque ?), je ne comprends pas en quoi ma future maison les concerne étant donné que je leur achète simplement un terrain.
Eux : quand comptez-vous déposer un permis de construire ?
Moi : nous n'avons même pas encore déterminé quel sera le constructeur
Eux : nous pouvons vous mettre en contact avec des personnes sérieuses
Moi : volontiers
Eux : quand comptez-vous déposer un permis de construire ?
Moi : il faut d'abord que je trouve un constructeur et mes premiers contacts semblent montrer qu'ils sont débordés, il va falloir un peu de temps
Eux : cela peut aller très vite. Ensuite, s'ils ne veulent pas travailler...
Vraiment, cela commence à m'irriter. On arrive tout de même à se mettre d'accord sur une date de dépôt de PC : ce sera pour le 31 juillet au plus tard. Et là, encore des sujets que je ne maîtrise pas : la purge du recours des tiers, les conditions suspensives... J'ai la tête embrouillée, cela ne va pas, je commence à m'énerver. Le vendeur, que j'avais presque oublié vu qu'il était aussi bruyant qu'un puceron perdu dans la forêt de Boulogne, se manifeste enfin et s'étonne que la date de signature de l'acte authentique ne survienne qu'en décembre (comprendre : acte authentique = argent). A un moment, j'en ai assez et le ton de ma voix change (j'ai chaud aux joues). Je proclame : "je ne comprends rien, je suis fatiguée, je dois parler à notre notaire, on n'est pas à quelques jours près". Tout le monde se met d'accord sur ce point, on laisse les notaires faire. Franz P., le vendeur, quitte l'agence sans m'avoir dit au revoir. J'aurais pu mal le prendre mais ouf, il a fait le même coup au Directeur de l'agence !

vendredi 9 juillet 2010

Le bon de visite n°105 VG

Nous sommes le jeudi 11 juin 2009 et j'ai donc rdv en fin de journée avec Stephan G., agence Immo 3 Concept, pour le terrain. Point de rencontre : le parking de l'école d'Eteaux. J'arrive en avance et pour cause, cette fois, je connais le lieu.

< Rewind > : la première fois que j'ai eu rdv avec un agent immobilier sur ce parking, je me suis perdue et ce n'est qu'au bout de 40 minutes que je suis arrivée à bon port. Cela peut arriver à tout le monde, n'est-ce pas ? Le hic, c'est qu'entre mon domicile et le point de rencontre, il n'y a que 20 km ! J'ai honte... Disons simplement que j'ai un relatif problème avec l'orientation (et que je ne possède pas de GPS !)... Mais revenons à notre temps présent qui en fait, se situe dans le passé.

Stephan G. arrive enfin : un homme assez petit, mal rasé, tenue très (trop ?) décontractée, des yeux bleus/verts hypnotiques, descendant d'une Clio, couleur artichaut, toute pourrie vieille. Etrange première impression... Les présentations sont faites, SG est très volubile et me promet la visite d'un superbe terrain. Je ne demande qu'à voir. Et hop, un coup de baguette magique plus tard (ou plus précisément, trois minutes de voiture plus tard), voici le paysage qui se dévoile à moi...

depuis la route

le ruisseau
la pointe du terrain
`
la rangée d'arbres le long du ruisseau
la vue
On entendait bruisser le feuillage des arbres ("euh, mais ils font combien de haut au fait ? C'est dangereux un peuplier de 40m à côté d'une maison, non ?"), une vue magnifique sur deux côtés ("ils sont constructibles les terrains voisins ?"), le subtil parfum de la campagne ("elle dure longtemps la période d'épandage ?"). Peu importe les réponses, je suis séduite. Mais Chéri (qui nous a rejoint entre-temps) modère toujours mon enthousiasme. En dépit des 1742m2 annoncés, le terrain semble petit à cause de sa forme particulière. Illustration :

En plus, le prix de vente est supérieur à notre budget. Pourtant, après avoir pris congé de l'agent immobilier (charmant au final d'ailleurs), nous sommes restés plusieurs longues minutes à arpenter le terrain de long en large. "Comment est l'ensoleillement ? Où est l'autoroute ? C'est tout de même dommage cette langue de terre qui ne servira à rien..."

Le samedi 13 juin au matin, nous avions trouvé un accord avec Stephan G. Nous allions vivre à Eteaux.

lundi 5 juillet 2010

A la recherche d'un nouveau home sweet home

Notre famille est, comme qui dirait, légèrement atypique côté composition. Oui, je suis une adulte. Oui, je suis mariée et même mère de famille. 33 ans, presque toutes mes dents et vivant encore avec Maman ! Vous avez bien lu ! Mon mari est un saint (mais chut). Conclusion, notre future maison devait avoir un logement indépendant pour ma mère. Nous avons visité un certain nombre de maisons. Deux auraient pu convenir moyennant de gros travaux d'aménagement... mais le tilt n'était pas au rendez-vous. Tant qu'à s'endetter sur 25 ans, autant acheter une maison qui nous plaise. Etant donné les besoins de notre famille et surtout notre budget, nous nous sommes donc résolus à nous intéresser à la construction. Une première prise de contact avec les Maisons Phénix nous a encouragé dans ce sens. La tri-logis nous avait tapé dans l'oeil !



La maison principale et le logement de ma mère auraient été séparés par la verrière. Le look général de la maison était très "rafraîchissant" et côté budget, cela nous laissait de quoi acheter un bon terrain.

Enfin... c'est ce que nous pensions...

Bref, Chéri et moi, nous nous sommes accordés sur l'idée de faire construire le mardi 9 juin 2009 (vous l'avez compris, j'ai plus d'une année de retard dans ma narration). Le mercredi 10 juin, j'épluche les "seloger.com", "paruvendu" etc, et le jeudi 11 juin, j'ai rdv avec Stephan G. pour un terrain situé à Eteaux. "Beau terrain de 1742m2, bordé d'un ruisseau, viabilité en bordure, tout à l'égoût, libre de tout constructeur, COS de 0,2" : cela fait rêvé non ?

samedi 3 juillet 2010

Tamdam !! Cette fois, je me lance !

Cette fois est la bonne : je me lance enfin dans la réalisation d'un blog sur notre nouveau projet de vie => la construction de notre maison.

Pourquoi cette idée chronophage alors que Maman de deux enfants, je n'ai pas assez de temps libre (et que surtout, je n'ai strictement rien bloggué à propos ma progéniture...) ?

Parce que ceci, c'est moi :


et parce que cela :


cumulé à ceci :


m'évoque autant que ça :


N'étant certainement pas la seule "stilettos addict", je me suis dit "et pourquoi pas partager l'expérience... si cela peut faire rire un peu !". En plus, notre famille est loin (700 kms), on vient d'arriver dans la région, Parents, Cousins et Amis pourront ainsi voir l'évolution de la maison (oh, ça rime !).