Début de chantier + 8 mois contractuels + 2 mois de rab (sympa non ?)

             

lundi 25 octobre 2010

Plus d'un mois d'absence

Le temps file si vite lorsqu'on manque de mourir. Oui, j'ai été malade. Oh, rien de grave... juste une rhino-machin truc (mais avec suspicion de pneumonie, hein !). J'en avais plein les bronches, plein le nez, plein l'oreille (je n'avais jamais eu d'otite avant !). J'avais du mal à respirer. Chaque quinte de toux équivalait à un coup de dague dans le poumon droit. J'étais verte, j'étais transpirante, j'étais malaDE (complètement malaDE). Désormais, je saisis mieux comment au Moyen-Age, on pouvait partir sur un simple rhume.

Plus d'un mois d'absence et tant d'occasions de blogger ratées. Comment rattraper le temps perdu ? Je sais (ah la la, je résiste !!  J'essaie de ne pas appuyer sur la touche "deux points" mais non, j'aime terriblement l'effet de cette ponctuation !) : cela n'est pas possible.

Qu'ai-je manqué ? Qu'avez-vous manqué ? Beaucoup et rien à la fois (triste constat). Soyons lucide : ce n'est qu'un blog parmi tant d'autres ! Y'a des sujets tellement plus grisants (je pense à "mais comment ils font les rayures dans le tube de dentifrice ?"). C'est bien beau d'avoir un millier d'idées, de se dire "oh, je démarrerais bien mon prochain post sur cette remarque" mais ne rien écrire conduit à une inexistence virtuelle (et là, la meilleure idée du monde ne vaut pas tripette). Du néant, je reviens... et aussi virtuellement vivante que possible.

Plus d'un mois d'absence (on va finir par me qualifier de redondante avec toutes ces répétitions) et le monde a continué de tourner :

1/ J'ai raté ceci (et sincèrement, je ne m'en remettrai pas)























2/ ASJ a soufflé une nouvelle bougie
3/ Valentina a soufflé une nouvelle bougie
4/ Chéri a soufflé une nouvelle bougie
5/ J'ai soufflé une nouvelle bougie

Aparté : très fécond le mois d'octobre

6/ Un mariage franco-vietnamien entre une fée et une chenille
7/ Un mariage express à Las Vegas au pays du souk

Et ce qui est drôle dans l'affaire, c'est qu'avec toute cette frénésie environnante, la construction, elle, a à peine évolué. Notre bâtisseur de maison a simplement mis la priorité sur d'autres chantiers et les artisans ont oeuvré à la Tour plutôt qu'à Eteaux. De toute manière, ce n'est pas en sentant le sapin que j'aurais pu être très efficace. Allez, on chausse les stilettos : c'est reparti mon kiki !

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