La semaine dernière, Monsieur Suluk, le façadier, est venu chez nous pour nous déposer les nuanciers de façade. Il est arrivé avec 20 minutes d'avance. Autant j'apprécie le quart d'heure de courtoisie (souvent même, je rêve qu'il soit la demi heure de courtoisie), autant je déteste lorsque les gens arrivent avant l'heure (j'ai toujours un truc qui traîne qu'il faut cacher à la dernière minute). Conclusion, j'aborde le rendez-vous un peu crispée. Deux minutes après s'être assis dans le canapé, Monsieur Suluk m'informe qu'il y a eu une erreur sur le marché et que pour avoir la finition "frotté fin", il fallait compter 6 euros de plus au mètre. Là, je suis définitivement crispée. Chéri et moi avons gentillement botté en touche en invitant le façadier à voir avec le maître d'oeuvre. Bref, notre maison va avoir un crépi en finition "écrasé".
Et je déteste l'écrasé !! Beurk, beurk, beurk ! Mais bon, il faudra bien que je m'y fasse car je n'ai pas le budget pour avoir du fin, du lisse, du beau ! Soupir.
Je suis allée à la mairie d'Eteaux pour vérifier les teintes possibles (le monde réel n'est pas aussi coloré que le monde des Barbapapa : on ne peut pas faire une maison rose n'importe où) et notre choix s'est porté sur le n°211 "blanc bleuté". On joue à retrouver la teinte n°211 le plus vite possible ?
1 commentaire:
Très intéressant toutes ces techniques du "façadier", vive le gratté, l'écrasé et le taloché ! gare au projeté !
Enregistrer un commentaire